En 2026, vos clients signent encore vos devis en les imprimant, les scannant et les renvoyant par email. Vos contrats font des allers-retours postaux pendant des semaines. La signature électronique pourrait accélérer tout ça en 2026. Selon le Ministère de l'Économie, la signature électronique a la même valeur juridique que la signature manuscrite depuis le règlement eIDAS. Mais est-ce vraiment légal ? Et quel outil choisir parmi la multitude d'offres ?
La signature électronique est-elle légale ?
Oui, depuis 2000 en France et renforcée par le règlement européen eIDAS de 2016. Une signature électronique a la même valeur juridique qu'une signature manuscrite, sous certaines conditions.
Les trois niveaux de signature
Email + case à cocher
Vérification d'identité
Certificat qualifié eIDAS
Pour 90% des usages PME, la signature simple ou avancée suffit.
Les outils du marché
Critères de choix
- Conformité eIDAS : vérifiez le niveau de signature proposé
- Intégrations : CRM, GED, outils métier
- Expérience signataire : simple pour vos clients
- Stockage : où sont conservés les documents signés ?
- API : pour automatiser si besoin
Cas d'usage courants
- Devis et bons de commande : signature simple suffit
- Contrats commerciaux : signature avancée recommandée
- Contrats de travail : signature avancée
- Baux : signature avancée ou qualifiée selon le montant
Pour les PME rouennaises qui veulent intégrer la signature électronique dans leurs processus, un accompagnement en automatisation connecte la signature à vos outils existants (CRM, facturation, GED).
La signature électronique n'est plus un gadget. Consultez aussi notre article sur la GED et dématérialisation pour une stratégie complète de digitalisation documentaire. C'est un gain de temps, une meilleure expérience client, et une traçabilité renforcée. Les PME rouennaises qui l'adoptent accélèrent leurs cycles de vente et réduisent leur consommation de papier.
